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Marie-Antoinette l'indomptée
Elisabeth Reynaud
Après avoir brossé les portraits de Sissi,Thérèse d’Avila, Niki de Saint-Phalle ou encore Thérèse de Lisieux, Elisabeth Reynaud évoque, d’une manière originale, la dernière reine de l’Ancien Régime.
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Après avoir brossé les portraits de Sissi,Thérèse d’Avila, Niki de Saint-Phalle ou encore Thérèse de Lisieux, Elisabeth Reynaud évoque, d’une manière originale, la dernière reine de l’Ancien Régime.
55217624
Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 242
- Largeur (mm)
- 154
- Profondeur (mm)
- 30
- Auteur
- Elisabeth Reynaud
- Type de livre
- Noir
- Nombre de pages
- 456
- Poids (Kg)
- 0.633
- Date de sortie nationale
- 13/02/2020
- Editeur
- L'ARCHIPEL
- Format
- Grand format
- Exclusivité
- Non
À propos de l’auteur
Elisabeth Reynaud
Peintre à ses heures perdues, Élisabeth Reynaud écrit depuis toujours et publie également d'autres romanciers. Elle est présidente du Prix Bel Ami, qui récompense l'auteur d'un ouvrage retraçant un destin de femme à travers une biographie, un essai ou une fiction romanesque.
Élisabeth Reynaud a écrit une vingtaine d'ouvrages sur de grands personnages d'hier et d'aujourd'hui (Thérèse d'Avila ou le divin plaisir, Jean de la Croix, fou de Dieu, Madame Élisabeth, sœur de Louis ,XVI, et, dernièrement, Céline Dion, la femme aux deux visages).
Elle vit à Paris, mais ne reste jamais longtemps sans voyager en Inde ou en Afrique, ses pays de prédilection. Elle a eu deux fils qui restent l'autre passion de sa vie.
Élisabeth Reynaud a écrit une vingtaine d'ouvrages sur de grands personnages d'hier et d'aujourd'hui (Thérèse d'Avila ou le divin plaisir, Jean de la Croix, fou de Dieu, Madame Élisabeth, sœur de Louis ,XVI, et, dernièrement, Céline Dion, la femme aux deux visages).
Elle vit à Paris, mais ne reste jamais longtemps sans voyager en Inde ou en Afrique, ses pays de prédilection. Elle a eu deux fils qui restent l'autre passion de sa vie.
Après avoir brossé les portraits de Sissi,Thérèse d’Avila, Niki de Saint-Phalle ou encore Thérèse de Lisieux, Elisabeth Reynaud évoque, d’une manière originale, la dernière reine de l’Ancien Régime.