Vasselage et forfaiture

Vasselage et forfaiture

Jean d'Aillon

Meurtres et guerre d’héritage
De retour de Terre sainte, Archambaud découvre que la vicomté de Bridiers dont il est l’héritier a été cédée au lignage des Brosse. De surcroît, la jolie Emma d’Assérac prétend aussi à l’héritage. Les morts se multiplient… Mais qui est l’assassin ?
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De retour de Terre sainte, Archambaud découvre que la vicomté de Bridiers dont il est l’héritier a été cédée au lignage des Brosse par son grand-père. De surcroît, le jeune chevalier n’est pas le seul prétendant : la jolie Emma d’Assérac assure être aussi héritière par sa mère. Alors que le vicomte en titre engage pour se défendre des mercenaires pourchassés par Guilhem d’Ussel, les morts se multiplient… Qui est l’assassin ?

Guillemet

3 QUESTIONS À JEAN D'AILLON

 

À quoi faut-il s’attendre dans ce nouvel opus ? 

Vous allez découvrir les nouvelles aventures du chevalier troubadour Guilhem d’Ussel à travers les châteaux forts de Palestine, de Bretagne et du Limousin, et vivre ses rencontres : un vicomte tyrannique, une damoiselle en fuite, un prévôt malfaisant… 

Savez-vous jusqu’où vous comptez emmener le chevalier troubadour ? 

Oui. Sur sa jeunesse, j’ai prévu encore deux romans. Et compte tenu d’un projet de série télévisée, dont j’ignore s’il aboutira, j’ai prévu au moins deux romans « intermédiaires ». Au-delà, j’ai un projet intitulé La fille de Guilhem d’Ussel. 

Écrire des romans historiques, une manière détournée d’aborder l’actualité ? 

Surtout le plaisir d’écrire des histoires, mais le lecteur avisé trouvera parfois dans mes romans des éléments d’actualité. 

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Fiche technique

Compilation
Non
Hauteur (mm)
225
Largeur (mm)
140
Auteur
Jean d'Aillon
Type de livre
Noir
Reliure
Brochée
Nombre de pages
504
Poids (Kg)
0.54
Editeur
PRESSES DE LA CITE
Format
Grand format
Exclusivité
Non

À propos de l’auteur

Jean d'Aillon vit à Aix-en-Provence. Docteur d’État en sciences économiques, il a fait une grande partie de sa carrière à l’Université en tant qu’enseignant en histoire économique et en macroéconomie, puis dans l’administration des Finances. Responsable durant plusieurs années de projets de recherche en économie, en statistique et en intelligence artificielle au sein de la Commission Européenne, il a démissionné de l’administration des Finances en 2007 pour se consacrer à l’écriture. Il publie à partir de 1997 des romans policiers autour de l'Histoire de France et des récits historiques. Il a reçu en 2011 le Grand prix littéraire de Provence pour l’ensemble de son œuvre.

 

Interview de Jean d’AillonVasselage et forfaiture

À quoi faut-il s’attendre dans ce nouvel épisode des aventures de Guilhem d’Ussel ?

Vous allez découvrir les nouvelles aventures du chevalier troubadour Guilhem d’Ussel à travers les châteaux forts de Palestine, de Bretagne et du Limousin, et vivre ses rencontres : un vicomte tyrannique, une damoiselle en fuite pour échapper au couvent, un prévôt malfaisant et le fils d’un croisé revenu réclamer son héritage. Le tout, dans l’ombre de Philippe Auguste et de Richard Cœur de Lion.

Y a-t-il une émotion particulière à accompagner un personnage sur le long cours, à le voir grandir, évoluer… ?

Bien sûr. Guilhem d’Ussel apparait pour la première fois dans « Marseille, 1198 », où il n’est pas vraiment le personnage principal. On en apprend plus sur lui au fil des romans suivants et de ses rencontres. Une seconde série de livres a démarré plus tard, dans laquelle je raconte sa jeunesse, car les lecteurs voulaient mieux connaître sa vie.

Savez-vous jusqu’où vous comptez emmener le chevalier troubadour ?

Oui. Sur sa jeunesse, j’ai prévu encore deux romans. Bouvines, 1214 marque la fin du cycle principal, mais compte tenu d’un projet de série télévisée, dont j’ignore s’il aboutira, j’ai prévu au moins deux romans « intermédiaires » dont le prochain a pour titre provisoire Clermont, 1206. Au-delà, j’ai un projet intitulé La fille de Guilhem d’Ussel.

Quel est votre secret pour être aussi prolifique ?

Travail, travail, travail ! Ceci étant je ne suis pas tellement prolifique. D’autres auteurs l’ont été plus moi. Ainsi un auteur anglais (prolifique), Edgar Wallace, répondait un jour à son valet de chambre qui lui annonçait un visiteur. «  Dites-lui que j’écris un roman et que je le reçois dès que j’ai terminé. »

Écrire des romans historiques, une manière de s’évader ou une manière détournée d’aborder l’actualité ?

Surtout le plaisir d’écrire des histoires, mais le lecteur avisé trouvera parfois dans mes romans des éléments d’actualité.

Un mot pour les lecteurs de France Loisirs qui vous sont fidèles depuis de nombreuses années ?

Un seul ? Merci !