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Sur la terre comme au ciel
Christian Signol
Un roman rare à la beauté juste et simple
Dans la campagne berrichonne, Ambroise, garde d’un parc naturel, est un homme simple, amoureux de la nature. Mais Ambroise est aussi un homme accablé par la disparition de son fils, Vincent, parti au Canada dix ans plus tôt. Lorsqu’on lui présente un patient amnésique, grand brûlé, Ambroise reconnaît les yeux de son fils.
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Dans la campagne berrichonne, Ambroise, garde d’un parc naturel, est un homme simple, amoureux de la nature. Mais Ambroise est aussi un homme accablé par la disparition de son fils, Vincent, parti au Canada dix ans plus tôt. Lorsqu’on lui présente un patient amnésique, grand brûlé à la suite d’un accident d’avion dans le Nord québécois, Ambroise reconnaît les yeux de son fils. Il installe donc chez lui ce grand blessé mutique, qu’il va ramener à la vie, en lui racontant sans relâche des souvenirs anciens. La parole et la mémoire de Vincent vont peu à peu réapparaître…
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Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 227
- Largeur (mm)
- 147
- Profondeur (mm)
- 22
- Auteur
- Christian Signol
- Type de livre
- Noir
- Reliure
- Brochée en couleurs
- Nombre de pages
- 256
- Poids (Kg)
- 0.346
- Date de sortie nationale
- 30/09/2020
- Editeur
- ALBIN MICHEL
- Exclusivité
- Non
À propos de l’auteur
Christian Signol
Né en 1947 dans le Quercy, Christian Signol fait des études de Lettres et de Droit. Il débute sa carrière d'écrivain en 1984 avec la fresque romanesque Les Cailloux bleus suivi du roman Les Menthes sauvages, qui obtient le prix Eugène-Le-Roy.
Mais c'est la trilogie de La Rivière Espérance, entre 1990 et 1993, qui fait de lui l'un des écrivains les plus lus en France. Avec La Lumière des collines, il reçoit le Prix des Maisons de la Presse. Et de 2000 à 2003, sa saga Ce que vivent les hommes confirme son statut d'écrivain populaire.
Dans la campagne berrichonne, Ambroise, garde d’un parc naturel, est un homme simple, amoureux de la nature. Mais Ambroise est aussi un homme accablé par la disparition de son fils, Vincent, parti au Canada dix ans plus tôt. Lorsqu’on lui présente un patient amnésique, grand brûlé, Ambroise reconnaît les yeux de son fils.