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Le syndrome du spaghetti
Marie Vareille
Bouleversant, tout simplement
Léa, 16 ans, est une championne de basket promise au plus bel avenir. Mais les certitudes n’existent pas et Léa va le découvrir de la plus cruelle des manières. Comment rebondir quand sa vie s’écroule ? Peut-être grâce au soutien d’Anthony que le hasard a mis sur sa route. Pas besoin d’aimer le basket (ni même les spaghettis !) pour être touché au cœur par ce roman juste et sensible.
Léa, 16 ans, est une championne de basket promise au plus bel avenir. Mais les certitudes n’existent pas et Léa va le découvrir de la plus cruelle des manières. Comment rebondir quand sa vie s’écroule ? Peut-être grâce au soutien d’Anthony que le hasard a mis sur sa route. Pas besoin d’aimer le basket (ni même les spaghettis !) pour être touché au cœur par ce roman juste et sensible.
ADOS. 288 pages.
Fiche technique
- Compilation
- Non
- Hauteur (mm)
- 225
- Largeur (mm)
- 140
- Profondeur (mm)
- 26
- Auteur
- Marie Vareille
- Type de livre
- Noir
- Reliure
- Brochée
- Nombre de pages
- 288
- Poids (Kg)
- 0.42
- Editeur
- UGE POCHE
- Exclusivité
- Non
À propos de l’auteur
Marie Vareille
Marie Vareille a eu son premier coup de foudre à six ans et demi, le jour où elle a lu un roman pour la première fois. Diplômée en management de l’ESCP-Europe et de l’université de Cornell aux États-Unis, elle n’a pas pour autant oublié son amour des histoires et travaille quotidiennement à accomplir sa vraie vocation : rêveuse professionnelle. Écrivain un brin geek et accro à son smartphone, elle fait aussi de la communication sur le web.
En plus de la saga Elia, la passeuse d’âmes, dont le tome 1 s’est vendu à 6 000 exemplaires au Club, elle écrit également des romans pour adultes (chick-lit).

Bouleversant, tout simplement
Léa, 16 ans, est une championne de basket promise au plus bel avenir. Mais les certitudes n’existent pas et Léa va le découvrir de la plus cruelle des manières. Comment rebondir quand sa vie s’écroule ? Peut-être grâce au soutien d’Anthony que le hasard a mis sur sa route. Pas besoin d’aimer le basket (ni même les spaghettis !) pour être touché au cœur par ce roman juste et sensible.